convocation chez mon maître pour 16h30. j'ai demandé à ne pas venir en jogging chez mon maître pour être habillé plus chaudement vu le temps (jogging étant la tenue, j'y vais bien en voiture

).
mon maître m'attendait de pied ferme, m'a dit : "tu montes à l’appartement, à poil ! J'arrive." Je n'avais pas fini de me déshabiller que mon maître arrivait.
comme d'habitude, mon maître m'équipa des genouillères, harnais, menottes chevilles, moufles, cagoule nylon avec ouverture bouche et pour finir le collier avec cadenas.
la cagoule, c'est pénible, je suis resté aveugle tout ce temps (3 heures).
mon maître m'a fait mettre à quatre pattes et attendre pendant qu'il s'affairait.
ensuite mon maître m'a fait lécher ses pompes. je l'avais fait une fois, mais là j'ai pas aimé. déjà il fallait cherché, puis cette fois c'était des "baskets" (ou des "runnings", mais on s'en fout) avec dessus une matière "textile" gaufrée qui râpait ma langue. cela durait trop longtemps à mon goût et je dis : "maître, heu..."
- qu'est qu'il y a bâtard ?
- rien maître (j'hésitais entre : j'ai la langue qui râpe et cela va durer longtemps)
- si, qu'est qu'il y a ?
- non, maître
- si, tu voulais dire quelque chose
j'ai finis par bredouiller : "je vais le faire longtemps maître ?" ou "ça dure longtemps maître !". j'étais en train de me dire que ça partait en vrille et que la punition allait tomber.
- tu es là pour apprendre, tu continues, compris bâtard ?
après mon maître me tira par le collier pour me diriger vers son fauteuil dans lequel il s'installa et me fit sucer. là aussi, je dus chercher après, je dus m'y prendre à plusieurs reprises pour gober et garder en bouche une couille et faire de même avec l'autre. après avoir bien "tété", mon maître me dit de m'occuper de sa queue ; chose que je fis. mon maître me dis d'aller plus loin et de m'entraîner à faire gorge profonde, je m’exécutais mais avait des hauts le cœur. je m'y repris sans grand succès et failli même vomir. mon maître me dit alors de m'occuper à nouveau de ses couilles. je me remis à sucer les couilles de mon maître.
un seul radiateur était allumé et je me les gelais...
mon maître me fit me lever et déplacer dans la pièce. il me mit le bâillon boule et demandait d'attendre là. comment pouvais je faire autrement étant aveugle et le bâillon boule était une horreur de plus pour mes prothèses. mon maître me retira la cage pour me mettre le harnais plug que j'avais ramené samedi. mon maître me l’essaya, l'ajusta et l'adapta en faisant des trous. il me dit devoir en refaire, il avait vu quoi et n'avais pas besoin de moi pour cela. je redoute que mon maître me fasse porter le harnais la journée, je ne pense pas que ce soit discret sous le pantalon et redoute encore plus avec un plug, je vais quand même devoir aller aux toilettes... on verra mais je ne le sens pas !
je demandais à mon maître de retirer le bâillon. mon maître me rasa ensuite avant de reposer la cage. il me dit que j'aimais ma cage et j’acquiesçai.
mon maître m'installa comme tout à l'heure pour le sucer. excité, mon maître me prit par le collier pour me mettre sur le lit, enfila un préservatif et essaya de me pénétrer sans réussir. mon maître n'avais pas mis le plug et mon cul restait trop serré. mon maître dut se faire une raison et y renoncer. peut être parce que j'étais constipé, ou que le froid avait tendance à rétrécir mon trou, je n'en sait rien... mon maître dit : "tu vas me sucer et me finir".
mon maître me mena vers le fauteuil, je lui suçais encore les couilles. mon maître se masturba pendant ce temps là et finit par éjaculer.
mon maître me débarrassa de mon équipement, et je me réhabituais progressivement à la lumière quand la cagoule me fut retirée, trois heures s'étaient écoulées...
mon maître me dit peut être me convoquer demain (ou après-demain, on verra)